PREUVE N°2

Un magazine mène l'enquête





La rédaction du magazine AFRICA INTERNATIONAL s'était penchée sur cette affaire.
Elle avait pris note de seules informations que j'avais alors fournies sans demander la moindre copie des documents que je leur avais présentés. Vu les tailles de TF1 et du Crédit Agricole, la moindre approximation risquait de leur coûter cher parce qu'il s'en suivrait un procès en diffamation.
Alors la rédaction, avec des précautions infinies, avait vérifié tous mes titres auprès de l'INPI. Elle avait retrouvé et recueilli elle-même directement sur Internet les documents que je mettais en cause. Elle avait soumis l'ensemble des documents à différents cabinets juridiques pour s'assurer qu'il y avait bien contrefaçon et que la publication de cette affaire ne lui serait pas préjudiciable. Elle avait obtenu alors un feu vert total pourvu qu'elle se contentât de décrire la contrefaçon telle quelle.
L'article qui paraissait alors dans un magazine indépendant constituait une preuve publique inespérée pour moi.
Sa parution et sa mise en ligne sur leur site ne suscitèrent aucune réaction ni de la part de TF1, ni de la part du Crédit Agricole. Simplement parce que cet article disait et décrivait la stricte vérité.

Pour plus de lisibilité, je reproduis l'image en haut à droite en l'agradissant, tel qu'elle apparaissait alors indifféremment sur TF1 et Crédit Agricole, chaque succursale régionale de cette banque s'en était emparée.
L'encadré en rouge est de moi



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