FRANC-MAÇONNERIE, CE CAUCHEMAR DE LA RÉPUBLIQUE

Publié le par NORBERT KANZANZA

 

DOUBLE TENTATIVE DE MEURTRE bld St-Michel, Paris

Sur le fronton d'une "république", il est affiché cette grandiose déclaration

"défenseur vigilant des principes contenus dans sa devise qui est aussi celle de la République : "Liberté, Egalité, Fraternité".

Le premier élu pour incarner cette volonté de défendre les dits principes est aussi l'auteur de ces mots:

De : Jean-Michel QUILLARDET

Date : 03/30/07 09:10:30

A : Justiciable

Sujet : Re:

Monsieur

Votre dossier est à votre disposition.

Je conteste toute responsabilité dans le jugement négatif qui est motive et qui répond a mes conclusions.Un travail a été fait.Si vous voulez mettre en cause ma responsabilité vous pouver saisir mr le Batonnier ou engager une procedure de contestation d'honoraires.Je ne vous rembourserais pas ,ayant effectué mon travail d'avocat.Si vous venez faire du scandale dans mon cabinet je ferais appel à la police.Je vous rapelle par ailleurs que ce n'est pas vous qui avez régler les honoraires.

En resume votre dossier est a votre disposion à mon cabinet.Si vous voulez engager des procédures à mon endroit faites le.

Nos relations cessent et si vous continuez ce harcelement c'est moi qui porterais plainte conttre vous.

Jean-Michel QUILLARDET
Avocat à la Cour

Le texte ci-dessus est reproduit tel que reçu sans y apporter aucune modification.

Juste quelques interrogations à propos de ce message :

1. Me J-M Quillardet peut-il confirmer que ces écrits sont-ils bien de lui ?

2. Dans tous les cas de figure de la vie privée et de la vie publique, le harcèlement est un délit grave constitué. Pourquoi alors l'avocat grand-maître étant convaincu d'en être victime ne porte-t-il pas plainte illico ? en homme de loi qu'il est !

3. Peut-il nous dire en quoi consiste exactement ce harcèlement ?

4. Pourquoi une simple reprise de dossier par un justiciable doit-il donner lieu à un scandale. Pour quelles raisons l'avocat reconnaît légitimement au justiciable le droit  de faire un scandale ?

5. Pourquoi un scandale hypothétique donnerait-il lieu à une intervention de la police?

6. Pourquoi la police dans un cabinet d'avocat quand un simple envoi par la poste ou par coursier suffit ?

7. Quelle serait la forme de l'intervention de la police ?

8. Au fait, de quelle police s'agit-il ? Celle de la république ou une autre ?

Le message ci-dessus est corroboré par un autre quelques jours après :

De : Justiciable

Date : 02/04/2007 17:27:25

A : Jean-Michel QUILLARDET

Sujet : pierre blanche

Monsieur l'avocat,

C'est une journée à marquer d'une pierre blanche ou noire selon la qualité de l'âme : à 12h30 et pour la première fois depuis décembre 05, vous avez daigné me passer un coup de fil; le drame est qu'il est juste destiné à confirmer oralement vos menaces déjà présentes par écrit le 30 mars 07. Aïe l'Etat de Droit!!!!

1. Me J-M Quillardet peut-il confirmer avoir reçu ce courrier ?
2. Peut-il nous dire quelle avait été sa réaction ?
3. Le courrier du 30 mars contenant déjà des menaces, y avait-il eu d'autres menaces ?
4. Quelles suites Me J-M Quillardet avait-il donné à ces menaces ?
5. Pour quelles raisons exactes, le ton de Me J-M Quillardet est-il si outrageusement belliqueux ?

Selon le justiciable, il s'agissait d'un rendez-vous pour reprendre son dossier contenant plusieurs titres de propriétés, des brevets et d'autres documents importants remis à l'avocat dans le cadre d'une action en justice qui avait connu son dénuement le 14 mars 07 par un jugement défavorable, avec un fait très très particulier : l'avocat ne veut pas communiquer le jugement rendu au justiciable ! Le but est de l'empêcher de faire appel d'un jugement injustement défavorable. Le justiciable doit faire appel parce que les pièces qui vont en sa faveur sont entre les mains de l'avocat. Alors par tous les moyens l'avocat doit empêcher toute possibilité d'exercice du droit d'appel en commençant par séquestrer le jugement et les originaux du dossier...

Pour cela la force de la police peut s'avérer utile et dissuasive.

Le justiciable a été convaincu par ses proches de ne pas se rendu ce rendez-vous pour "ne finir coulé tout vif dans du béton".

Il s'acharna à réclamer son dossier sans plus de succès. Alors il se rendit de nouveau dans le cabinet de l'avocat. Voici le rendu intégral par l'avocat lui-même :

 

JMQ7juin07-copie-1.jpg

 

 

Encore quelques interrogations :

1. Me Jean-Michel peut-il confirmer que ce courrier est bien de lui ?

2. Le justiciable prétend qu'il n'était pas parti, mais qu'il avait détalé aussi vite qu'il le pouvait, mais pourquoi donc ?

3. Pourquoi le justiciable avait-il fui sans demander son reste ?

4. Quel avait été le rôle de la police dans ces 2 rendez-vous ?

5. Quelle furent les actions de la police contre ce pauvre justiciable ?

6. Un jugement rendu depuis le 13 mars 07, au 7 juin 07 l'avocat ne l'avait toujours pas communiqué au justiciable, pour quelles raisons ?

 

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